Nos rivières regorgent de trésors

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Mais aussi de microplastiques.

Depuis longtemps maintenant, nous parcourons celles que nous aimons appeler « nos » rivières : Gaves, Nives, Adour, Garonne, Leyre. A nos yeux, sans aucun doute les plus belles du pays, mais aussi celles que nous avons le plus sonder, pour notre grand plaisir.

Depuis cette entreprise, nous adoptons systématiquement un regard double à l’approche d’une rivière. Ce qu’on voit, ce qu’on ne voit pas. Au début, c’est difficile de croire qu’un échantillon pris au hasard, ne représentant qu’un volume infime du cours d’eau puisse contenir autant de petits morceaux de ces indestructibles plastiques.

Indestructibles, oui, mais pas indégradables. Les produits de dégradation de ces millions de petits déchets plastique et, par sa morphologie et la chimie qu’il disperse ou qu’il absorbe, plus toxique que l’objet de départ. Affreux vous nous dites, à juste titre.

Notre solution : enfourcher une embarcation, en prendre plein la vue, vivre avec la rivière quelques jours. Le reste se fera tous seul, pas besoin d’un tuto pour adopter un mode de vie adéquate aux enjeux aquatiques !