Il permet à tous, que l’on soit sportifs, animateurs, pêcheurs, étudiants, promeneurs sensibles à la problématique des déchets en rivière, kayakistes, etc, de faire des prélèvements de teneur microplastique en eaux douces.
Le fonctionnement est le suivant :
N’importe qui peut réaliser un prélèvement sur le territoire français métropolitain, en veillant à respecter ces quelques règles d’utilisation :
*** toute personne effectuant un prélèvement doit impérativement lire et accepter la charte d’utilisation afin d’assurer un relais d’informations optimal auprès de son propre réseau de bénévoles.
**** aucun délais ne sera communiqué, le traitement des échantillons étant dépendant de leur nombre. L’association ne se soumettra donc pas aux impératifs des participants en ce qui concerne la temporalité de retour des résultats.
Ces chiffres sont d’une importance capitale pour la compréhension de la problématique des microplastiques en eaux douces. Grâce aux analyses réalisées en laboratoire, nous savons quel est le type de microplastique retrouvé et donc son origine. Ces résultats sont ensuite publiés, et permettent l’élaboration de préconisations de diminutions des rejets constatés sur les différents territoires.
La liste des rapports et études publiés est disponible sur notre site à la page Documentation.
LA PAGAIE SAUVAGE
11, Allée de Glain
Elkarteen Extxea – Maison des Associations
64100 BAYONNE
Le(s) prélèvement(s) que vous avez réalisé(s) et leur(s) résultat(s) s’inscrivent dans un projet que vous portez ? Vous souhaitez aller plus loin dans la démarche et participer à une collecte sur le moyen ou le long terme ?
Établissements scolaires, établissements publics, syndicats de rivières, parcs, associations… de nombreux projets impliquent la réalisation d’un ou de plusieurs prélèvement(s).
Si depuis janvier 2022 les structures doivent obligatoirement adhérer pour participer à la collecte, elles bénéficient aussi d’un accompagnement minium, avec la possibilité de souscrire à d’autres services proposés par l’association :
Ce projet bénéficie du soutien de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour et de l’Agence de l’Eau Adour Garonne.